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Le 26 juillet, messe de 11h sur RCF (90.2) et vêpres (sans fidèle) à 14h30, sur la chaine youtube du diocèse

 

ATTENTION! GRAND PARDON SUR RESERVATION

L’inscription préalable et l’impression de votre ticket-mail de réservation sont obligatoires pour accéder au sanctuaire et aux parkings

Le Grand Pardon a dû s’adapter aux exigences sanitaires liées à l’épidémie du coronavirus.

Cet été, les 25 et 26 juillet, le sanctuaire de Sainte-Anne-d’Auray accueillera successivement dix messes

présidées par dix prélats bretons.

  • AVANT DE VENIR

Inscrivez-vous à la messe de votre choix sur   www.diocese56-inscription.fr

Une fois inscrit à la messe de votre choix, vous recevrez par mail un ticket d’inscription. Ce ticket-mail précisera aussi le parking sur lequel vous pourrez stationner à votre arrivée.
Vous devez imprimer le ticket-mail d’inscription pour toutes les personnes inscrites.

 Pour tout renseignement si vous n’avez pas internet , et pour les personnes à mobilité réduite souhaitant un accueil particulier, merci d’appeler le numéro vert:  08 05 38 42 42 

 (service et appel gratuit) – Standard ouvert du lundi au vendredi, de 10h à 12h et de 14h à 17h

  • SUR PLACE A VOTRE ARRIVEE

Pensez à bien vous munir de vos tickets-mail d’inscription imprimés ! Il vous sera demandé pour accéder au parking et à l’entrée du sanctuaire.
Les premiers pèlerins arrivés sur le site pourront être accueillis dans la basilique. Ensuite, les pèlerins seront installés sur le parvis.

  • IMPORTANT

Selon le temps, prévoir de quoi se protéger du soleil (eau, chapeau…) ou de la pluie (parapluie, etc…), sans oublier le MASQUE qui est OBLIGATOIRE.

-Afin de permettre le bon flux des personnes sur le site, tous les participants aux messes du matin seront invités à quitter le sanctuaire au plus tard à 15h (Fermeture des parkings). De même, les participants aux messes de l’après-midi seront invités à quitter le sanctuaire au plus tard à 22h30. (Fermeture des parkings).

 

LE JOUR DU GRAND PARDON

  • Présentez vos billets imprimés aux différents points de contrôle (Entrée de ville,  parking et basilique pour accéder à l’espace dédié aux messes)

5 messes le samedi 25 juillet: à 9h | 11h | 16h | 18h (Langue Bretonne) | 20h
5 messes le dimanche 26 juillet: à 9h | 11h | 16h | 18h | 20h

  • Samedi 25 juillet

9h: Monseigneur Raymond Centène, évêque de Vannes (56)

11h: Père Guillaume Caous, recteur de la cathédrale de Tréguier (22)

16h: Père Gérard Le Stang, recteur du sanctuaire Notre Dame du Folgoët (29)

18h (messe en langue bretonne) : Père Ivan Brient, vicaire général du diocèse de Vannes (56)

20h: Père Gwenaël Maurey, recteur du sanctuaire de Sainte-Anne-d’Auray (56)

 

  • Dimanche 26 juillet

9h: Monseigneur Laurent Dognin, évêque de Quimper et Léon (29)  complet

11h: Monseigneur Emmanuel Delmas, évêque d’Angers (49) complet

16h: Monseigneur Alexandre Joly, évêque auxiliaire de Rennes (35)  complet

18h: Père Serge Leray, chanoine de la cathédrale et chancelier du diocèse de Nantes (44)

20h: Monseigneur Raymond Centène, évêque de Vannes (56)  complet

 

Pour chaque messe : 

200 PLACES ASSISES sont disponibles dans la basilique et 500 PLACES ASSISES sont aménagées en plein air sur le parvis sonorisé.

  Nous vous souhaitons un très beau pèlerinage à Sainte-Anne-d’Auray!

Petite rétrospective:

La mère de Marie est apparu à un paysan simple, pieux et charitable: Yvon Nicolazig.

Une chapelle avait été construite autrefois dans un champ de son père. Complètement détruite, il en avait récupéré des pierres pour construire sa grange.

Ses visions ont commencé en août 1623, le soir après une journée de travail. Alors qu’il pense spécialement à sainte Anne sa « bonne patronne », une lumière très vive éclaire sa chambre. Une main apparaît : elle tient un flambeau de cire. Par la suite, à plusieurs reprises, il sera accompagné, le long des chemins creux, par un flambeau qui le précède, quand il rentre tard chez lui.

Un soir avec son beau-frère, il voit une Dame blanche avec un cierge à la main au fameux champ du Bocenno. Une autre fois, c’est une pluie d’étoiles qui tombe dans le champ. Mais tous ces événements se déroulent paisiblement, lentement. Et il s’interroge mais ne change rien à sa vie, à part qu’il prie encore plus.

Un jour d’été, son beau-frère Louis Le Roux et lui vont chercher leurs bœufs dans un pré voisin de la fontaine ; avant de les ramener, ils veulent les faire boire à l’abreuvoir. Tout à coup, les bœufs refusent obstinément d’avancer. Une dame majestueuse se montre alors, tournée vers la source. Elle porte un flambeau allumé.

Le 25 juillet 1624, veille de la sainte Anne, la Dame apparaît à nouveau, le soir, sur le chemin. Elle  parle pour rassurer Y. Nocolazic et le conduit chez lui, un flambeau toujours à la main.

Il s’interroge sur ces événements, va prier dans la grange. C’est alors qu’il entend sur le chemin “le bruit d’une grande multitude en marche ”… Mais il n’y a personne sur le chemin ! cela annonce la foule de pèlerins qui viendront honorer la patronne de la Bretagne et des grands-mères.

Puis dans la clarté, la Dame mystérieuse apparaît et voilà qu’elle parle encore:

Yves Nicolazic, ne craignez pas. Je suis Anne, mère de Marie. Dites à votre recteur que dans la pièce de terre appelée le Bocenno, il y a eu autrefois, même avant qu’il n’y eut aucun village, une chapelle dédiée en mon nom. “ C’était la première de tout le pays. Il y a 924 ans et 6 mois qu’elle est ruinée. Je désire qu’elle soit rebâtie au plus tôt et que vous en preniez soin parce que Dieu veut que j’y sois honorée.

Dans la nuit du 7 au 8 mars 1625, sainte Anne apparaît à nouveau à Yvon Nicolazic

Elle lui dit : « Yves Nicolazic, appelez vos voisins ; menez- les avec vous au lieu où ce flambeau vous conduira, vous trouverez l’image qui vous mettra à couvert du monde, lequel connaîtra enfin la vérité de ce que je vous ai promis ».

Le flambeau se met alors en mouvement. Arrivé en face du Bocenno, le flambeau sort du chemin et se dirige jusqu’à l’endroit de l’ancienne chapelle. Il s’enfonce dans le sol à plusieurs reprises. On se met à creuser le sol et  on découvre une pièce en bois qui s’y trouve enfouie : il s’agit d’une vieille statue, toute défigurée et endommagée, avec des traces de blanc et de bleu qui est enterrée là depuis 900 ans.

La nouvelle se répand très vite. 3 jours plus tard, une foule de curieux arrive de toute part non seulement de Ker Anna mais des localités voisines,  pour prier et faire des offrandes.

Le Pape St Jean-Paul II est venue honorer la grand-mère de Jésus et rencontrer les familles en septembre 1996.

La basilique abrite des reliques de la sainte et du pape. La statue actuelle est placée au-dessus du fragment du visage de la statue retrouvée, après avoir été sauvé d’un grand feu des révolutionnaires.

Tout savoir sur ce sanctuaire

L’été à Ste Anne: découvrez le programme!