Né peu avant la Révolution française,  Jean-Marie Vianney est issu d’une famille pauvre et cotoie l’Eglise clandestine.

A 17 ans, il souhaite devenir prêtre mais il a beaucoup de mal à travailler le latin. Or, pour devenir prêtre à cette époque,  le latin est incontournable. Soutenu par son curé, il va finir par y arriver.

3 ans après son ordination, il arrive à Ars, petit village déchristianisé depuis la Révolution. Il va savoir y conquérir les cœurs et les âmes.

Toujours dévoué, il attire les foules qui souhaitent se confesser et découvrir la miséricorde de Dieu. Il est cependant souvent agressé par Satan qu’il surnomme le « grappin ».

Il puise sa force dans l’Adoration du Saint-Sacrement et se prive de tout mais, comme « rien n’est trop beau pour Dieu », il investit dans de riches ornements liturgiques.

Aujourd’hui, le saint curé d’Ars est le saint patron des prêtres du monde entier.

550 000 pélerins visitent son sanctuaire tous les ans.