Dans l’octave de Noël, St Jean est fêté juste après St Etienne et avant les saints Innocents. Cette fête fait le pendant de la St Jean-Baptiste, 6 mois plus tôt.

Le symbole de cet évangéliste est l’aigle, très symbolique.

Jean était jeune. Il avait un grand amour pour le Christ. Et il est persuadé que le Christ aime d’un amour encore plus grand. Dans l’évangile de St Jean, l’apôtre s’appelle: « le disciple que Jésus aimait. »

Il fait partie du petit groupe des fidèles d’entre les fidèles.

Il est sur le Mont Thabor lors de la Transfiguration, à la Cène contre Jésus et au Calvaire, il est le seul apôtre, au pied de la croix. C’est là que Jésus lui confie Marie, sa mère. Selon la tradition de l’Église catholique, c’est alors toute l’Église qui est confiée à la Mère de Dieu.

Au matin de Pâques, il court et précède Pierre, plus âgé, au tombeau: « Il voit, il croit. »

Une tradition ancienne veut que Jean vécut ensuite à Éphèse avec Marie. Il y écrivit le quatrième évangile.

Un séjour sur l’île grecque de Patmos fut l’occasion d’une révélation qui a pris le nom du livre de l’Apocalypse.

Enfin, lorsqu’il fut vieux, il ne sut que répéter sans cesse l’essentiel de ce que le Christ lui avait enseigné et donné de découvrir: « Dieu est amour. Aimez-vous les uns les autres.« 

Selon nominis.cef.fr